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Balade musicale.
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Le Dhiwara 25 Marigar 818 à 10h37 |
*** En arrivant près du marché aux puces, Dante se laissa lentement dériver vers la zone des ... Elle ne savait plus. Tout ce qu'elle savait, c'est que c'était sur sa droite. Ce n’était peut-être pas très libertaire, mais son subconscient ne l’était point tant que ça. Et oui, bien qu’elle soit si peu mature, elle se posait bien des questions comme … ***
« “Il est beau mon poisson ! Qui veut du poisson ! Demandez le, les deux à moitié prix ! L’un pour le prix de deux ! Il est beau mon poisson !” »
*** Foutu poissonnier, pensa t-elle. La couper dans sa réflexion ! Elle en avait maintenant perdu le fil. Il lui faudrait l’aiguiser, ce fil, d’ailleurs.
Cette maudite interruption la fit se préoccuper un peu plus du monde aux alentours. A sa gauche, une échoppe, remplie d’armes, d'armures et d’objets en tout genre. Et puis là, au milieu de ces objets criards, un beau violon. Bizarre, n'est-ce pas ? Non point qu'il se trouve au milieu de tant d'armes, ça, elle n'y avait pas pensé, mais qu'elle tombe sur un violon aujourd'hui.
Cet instrument de musique lui rappelait son enfance. Et, dans son enfance, il était surtout de torture. Ses parents, voulant faire d'elle un gentilhomme, s'étaient donnés la tâche de lui apprendre. ‘Fin, avaient donné cette tâche à un précepteur.
Il s'en était mordu les doigts. Elle n'a jamais voulu l'écouter. Pire, lorsqu'il l’obligeait à venir, elle frappait, mordait et griffait. Si bien qu'il finit par démissionner.
Ses parents n'ont jamais retenté le coup. Elle n'avait plus vu de violon depuis cette époque.
Alors qu’elle vivait dans un milieu clairement bourgeois.
Et, c’était maintenant qu’elle vivait à la belle étoile, pour ne pas dire à la rue, de simulacre d’amour et d’eau croupi qu’elle en recroisait un.
Tentant. Il lui donnait sacrément envie de jouer. Surtout pour cracher sur ses parents. Feu ses parents. Jouer au violon en étant clochard ou comment faire un bras d’honneur à sa famille.
Elle regarde sa bourse. Pas débordante, mais assez pleine pour s’offrir ce violon.
Elle ne se l’offrit tout de même pas. Pas parce qu’elle n’en avait plus envie, mais bien parce qu’elle n’avait pas réussi à marchander son prix. Oui, elle avait hérité d’un caractère capricieux. Merci papa, maman.
De plus, elle avait une règle. Ne jamais acheté un objet non marchandé. Oui, elle venait d’inventer cette règle. Non, elle n’était pas de mauvaise foi.
Enfin, elle sait au fond d’elle que ses pas la remèneront à cette endroit. Elle fait donc machine arrière, gratifia le marchand d’un regard noir et continua son tour du marché.
Passe un coup d’oeil sur un étal qu’elle avait ignoré. Voit une plume miteuse et s’imagine écrire des pavés. Un rêve pour elle. Avec elle, les histoires d’amour finiraient mal et les hommes ne seront pas au centre des aventures. Mieux ! Elle écrirait des bouquins théoriques. En voyageant dans son imaginaire, elle se rappelle d’un élément réel : elle avait vu une belle plume sculptée dans le précédent magasin.
Et puis, elle repart. Autant dans son imagination qu’en marchant. D’un coup, elle s’arrête. Mais, continue de penser. Elle réfléchit. De questions et d’autres. Comment se fait-il que, dans une société qui se veut égalitaire, il y ait des ivrognes, des va-nus-pieds, des rebuts, des pauvres tout simplement ? Et puis, en parlant d’égalité, pourquoi être Lanyshsta serait inégalitaire dans la société ? Il y a bien des gens qui naissent beaux, d’autres pauvres et encore d’autres, plus forts.
Elle pense aussi à sa transformation. Elle ne la comprend point encore. C’est encore une sorte d’immense vide dans sa vie.
Elle conclut sa précédente réflexion : cette société est idéaliste, à croire que l’on naît égaux. Néanmoins, l’on peut le devenir. Et elle ne l’a pas trop compris, cette société. Pourquoi ne pas devenir égaux en droit, en condition ; pourquoi ne pas abolir les différences de … Conditions ? Naissances ? De classes, tout simplement.
Sa dérive mentale fut interrompue par un élan de création. Elle devait chanter, tout de suite ! ***
« “Funambules ! Je suis le fil,
L’érosion de vos palais,
D’où coulent, comme d’une plaie,
Une liberté hémophile.
Il se revoit frêle fou blanc,
Son filet de voix euphorique
Hurler « Société tyrannique ! »,
Arguant les autres cons battants.
Ta conscience s’éveille, entend
La mélodie de l'utopie,
Maudit cette démocratie,
Chimère régie par des enfants.
Ton chant de révolutionnaire,
Chanté sans efforts apparents,
Inquiète tes deux vieux parents :
« Tu glisses vers le cimetière »
Vertige est l'esprit qui se vide
Du vieux clown, dont l’utopie,
Détruite, est tombée dans l’oubli.
Las ! Goliath a tué David.” »
HJ/ poème d’un ami se nommant François et de moi. Voilà, c’est tout pour la mention des auteurs. Pour plus d’infos, contactez moi en mp HJ
*** Sa tristesse se déversa petit à petit dans sa voix, vibrante. Les gens lui sourient, s’arrêtent, l’écoutent, applaudissent et lui re-sourient. Elle leur sourit et se remet à gambader, le coeur léger.
Oui, chanter et être appréciée lui met du baume au coeur.
Au détour d’un chemin, un camelot. Escroc, il n’a rien d’intéressant à lui montrer, si ce n’est de fausses pépites d’or. Sa rencontre suivante est un nouveau groupe de badauds : elle ne les provoque pas.
Gambadant toujours et encore, elle s’amuse à regarder et jouer avec des montures : des chevaux, des cuirassés et de grands reptiles ! Tous trop chers mais si … Beaux.
Elle veut que tout le monde soit heureux, encore euphorisée par son chant : elle se remet à chanter … Seuls les animaux et l’éleveur lui sourient, mais elle ne s’en soucie point, clairement dans un autre monde. *** |
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Le Dhiwara 1 Astawir 818 à 19h04 |
*** Les animaux ont fini par s’endormir l’éleveur, par la chasser, lassé de son chant continu. Elle a donc commencé à errer. Ses pieds, au plus clair de la nuit, ont tranché un chemin jusqu’au lieu où elle s’était éveillée. Aucun oxymore dans la phrase précédente, juste une lune pleine et vibrante.
Près de la place, elle regarda maisons et autres vagabonds nocturnes. Bon ou mauvais qualificatif ? Mauvais, décréta t-elle, tout de moins pour elle. Princesse nocturne continua t-elle sarcastiquement - elle seule arrive à utiliser des phrases dégoulinantes de sarcasme jusque dans ses pensées. Non. Elle hocha même sa tête pour appuyer son propos. elle se voyait plus masculine, de toute façon. Un gentleman ? Oui, ça lui paraît bien.
Une meurtrière ? Que nenni ? Une musicienne ? Oui, mais pas que. Pourquoi n’être que oisive lorsque l’on transpirait d’idéaux comme elle ? Cambrioleuse ? ‘Fin, cambrioleur, oui. Voler aux riches pour donner aux pauvres. Voler aux parents pour avantager les enfants.
Il y avait un seul hic : bien qu’elle ait quelques compétences en la matière, elle n’était guère douée. Par contre, s’il y avait bien quelque chose dans lequel elle était douée, c’était parler en public, mener des débats, diriger des personnes ! Pourquoi ne pas créer un groupe ? Criminel, certes, mais pas que. Elle pourrait le nommer comme un groupe d’aventuriers : cela ferait venir tous les idéalistes !
Il faut qu’elle trouve quelques valeurs à y associer. Elle les trouverait bien. Nan, en fait, elle improvisera.
D’un coup, suivant son instinct, elle abandonna la place, faillit rentrer dans la taverne et se dirigea finalement vers le sud. Passant de belles ruines, d’une couleur argentée par la lune, elle hâta son pas pour observer la mer.
Sur le quai, elle la vit. Plus ou moins. En effet, elle n’était ni brillante grâce aux rayons, ni mouvantes comme la pleine lune devrait l’indiquer.
Elle était lisse. Noire. Mate. La faute à la matière noire. Elle envisagea s’y baigner, s’y noyer et demeurer à jamais dans l’oubli. Mais, elle se contrôla rapidement : elle mourrait à cause d’une indigestion provoquée par cette masse puante avant de manquer d’oxygène.
Et puis, avant, elle s’y serait bien risquée. Mais, maintenant, elle était plus forte, plus intelligente, plus utile ! Pourquoi sacrifier un être d’exception, un être ayant évolué : en bref, un surhomme.
Oui, elle devait former un groupe, de toute urgence.
Elle passa la nuit dans ses pensées. A fomenter des plans et des fantasmes. Elle se fit d’ailleurs la réflexion qu’elle n’avait pas dormi depuis longtemps. Puis, se dit que c’était sans doute dû à son nouveau statut et balaya cette amorce de pensée.
Au matin, elle abandonna les reflux d’odeur nauséabonde et se rendit aux puces. Après deux, trois rencontres, elle continua son chemin.
Elle explora le quartier : peut-être pas de fond en comble, mais … Non, pas si profondément que ça, après mûre réflexion.
Elle trouva une cache : pour lanyshta ! A l’intérieur, des cours, et des objets à acheter : des parchemins de sort, des parchemins de sort, et … Elle ne se rappelle plus. De toute façon, elle reviendra sans doute plus tard.
Elle s’est ensuite faufilée dans ce qui semblait être un égout (sous les regards consternés des passants). Pourquoi faire cela ? Elle ne sait pas, cela lui semblait une bonne idée.
Bref, passons. A la place de se retrouver dans de vieux couloirs nauséabondes, elle … Bon, c’en étaient, mais pa seulement : c’était aussi un immense dédale. Après deux, trois tournants, elle s’est retrouvée dehors. En pleine plaine. Entourée de monstres. Bon, pas juste à côté, mais à moins de 500 mètres.
Vite, il faut faire marche arrière.
En revenant, couverte de sueur et de toiles d’araignée, elle se remit à observer la large place. Un immense fontaine : aussi belle qu’inutile ! Au loin, vers le nord, un armurier et un forgeron.
Continuant son chemin (non prédéfini), elle croisa encore et encore des badauds. Des miteux, et d’autres, plus riches. Elle murmura : ***
« “Des différences de richesse même dans la plèbe … Oh ! Une salle d’entraînement : je garde ça en tête pour quand j’aurai des armes. Il faudrait que j’en achète ...” »
*** En parlant d’acheter, elle se rappela soudain des mots du marchand : ***
« “Je te le garde, mais fais vite. Un si beau violon ne restera pas invendu.” »
*** C’était du bluff, se dit-elle. Il doit en avoir quelques dizaines comme ça. Néanmoins … Son coeur se resserrait, une boule de stress naissait. S’il disait la vérité ?
Il ne lui en fallut pas plus. Elle se mit à courir, courir et voler. Qoi ? réaction extrême ? Mais, elle ne veut pas abandonner ce souvenir, comprenez la ; elle ne veut pas abandonner ce fragment de vie passée.
Elle court, elle vole, elle chute, se ramasse lamentablement, se remet à courir comme une dératée. Maladroite, elle reglisse, tombe, va percuter le sol, et se rattrappe, d’une roulade bien dosée. Agile la petite !
Violon, violon, seras-tu là ? ***
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Le Luang 2 Astawir 818 à 17h47 |
HJ/ Featuring avec Lee BerT HJ
*** Vite, toujours plus vite. Elle ralentit en arrivant près de l’étal, esquive une silhouette floue, et n’y prête pas grande attention. Sa progression, ralentie par le nombre de badauds, trouva tout de même sa fin. Le vendeur, occupé à parler à un autre client, ne sembla tout d’abord pas la remarquer. Puis, avec une mine écœurée d’avoir gâché son temps avec un client qui ne souhaitait que discuter, il tourna la tête d’un balayage de gauche à droite, pour trouver de nouveaux pig … Clients à qui refourguer sa camelote.
Elle se rua sur l’échoppe avant qu’il ne put en trouver un autre. Enfin, elle imposa surtout son statut de nouvelle cliente. Il l’accueillit avec un grand sourire, sûr de vendre. Elle, l’ignora, et parcourut les articles du regard. Là ! Entre une plume, et une épée, le violon ! Son violon.
Elle leva la tête. Avec un air de défi. Sourit. Et, articula un : ***
« “Le violon est toujours à trente, ou bien ?” »
*** Le vendeur, voyant que de plus en plus de badauds venaient inspecter l’étal, lui répondit, pressé et avide : ***
« “Je le descends à vingt-huit pour vous, jolie d’moiselle.” »
*** Elle crissa des dents, accepta, tendit sa main à sa bourse et lui jeta ses pièces. Elle prit le violon entre ses mains et se dit “c’est déjà deux pièces de gagné !”. Puis, elle évalua rapidement du regard si autre chose l’intéressait : oui, elle reviendrait.
S’en allant, elle se retourna pour dire en revoir et aperçut le marchand en train de remplacer l’espace vide laissé par son violon par un autre, similaire. Elle pesta et se dit, qu’en effet, le marchand était un menteur en plus d’être escroc.
Voulant se défouler, elle l’essaya directement. De bonne qualité et ses doigts y glissaient toniquement. Elle avait peut-être un don, qui sait ? en tout cas, plusieurs passants s’arrêtèrent et les gens semblaient bien plus joyeux en entendant sa mélodie.
Pourquoi ne pas devenir musicienne ? Non, ne pas redevenir oisive. Tout du moins, pas pour le moment.
Gardant l’objet en bois dans ses mains, elle marcha immédiatement plein ouest. Un obstacle l’interrompit (encore), et c’est sur une personne presque éthérée qu’elle tomba. ***
« “Toi, l’albinos ! D’ailleurs, c’est quoi ton nom ?” »
*** Puis, d’un ton légèrement plus sournois, elle dit : ***
« “Encore à détrousser les passants ?” » |
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Lee BerT
Passeurs de temps
Kil'sin
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Le Julung 5 Astawir 818 à 15h12 |
Chut ! Faut pas dire que ça m'arrive en pleine rue voyons.
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Je n'étais absolument pas en train de détrousser qui que ce soit au moment, mais j'exerçait quand même ma dextérité en tripotant ma création en cours, une bague de puissance. évidement pour les krolannes c'est juste une jolie bague, mais un lanyshsta est capable de repérer que cette anneau est enchanté.
***
Je m'appelle Liadrin, mais tu peux m'appeler Lee. Là ça fait quelques jours que je me tiens à carreau, mais ce que je fais demande quand même une grande dextérité : je crée des bijoux. Des bagues surtout, mais aussi des bijoux de cheveux.
Tient, tu as acheté un violon ? Je suis encore débutant mais je sais fabriquer des instruments de musiques. Enfin jusqu'à présent je n'ai crée qu'un Cavaquinho, mais je compte bien m'améliorer et créer d'autres instruments.
***
J'observe mon camarade taquin, mais ne suis pas capable d'être sur de son sexe, est ce une femme ou un homme imberbe ?
Peut être que son nom pourra me renseigner ?
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Et toi, comment dois-je t'appeler ? |
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Le Dhiwara 8 Astawir 818 à 12h39 |
*** La première réflexion du jeune albinos la fit sourire. Puis, suivant le détour que prenait la conversation, elle lui répondit, au tac au tac : ***
« Et, pourquoi pas, cher Liadrin ? Attention, d'aucuns diront que tu es un voleur prestidigitateur : tu fais apparaître des bijoux dans tes mains avant de ne serait-ce que les glisser dans la poche de ton voisin ! »
*** Les paroles imprudentes de l'androgyne personne firent s'écarter plus d'un badaud d'autour d'eux. Néanmoins, sans s'en rendre compte, son flot de palabres continua avec la même fréquence : ***
« Par contre, je ne peux qu'être toute ouïe à connaître la future histoire du voleur-créateur de musique, Lee. Au moins, si tu fais quelque chose, je pense être sûre de ne pas avoir à acheter de la camelote la prochaine fois. »
*** La fin de sa phrase fut presque criée : aucun doute, cette pique ne s'adressait pas seulement au blanc-bec. ***
« Mon nom ? Oh, j'en ai plein. Enfin, pas encore, mais bientôt. Pour l'instant, tu peux te contenter de Dante. » |
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Lee BerT
Passeurs de temps
Kil'sin
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Le Matal 10 Astawir 818 à 21h36 |
La future histoire ? Ou son passé ? Le passé est très simple, je vis au jour le jour de manière assez insouciante cher Dante.
Et si j'ai crée un instrument de musique, c'est juste histoire de bien me faire voir auprès des gens qu'il faut. Mais bon pour l'instant je n'ai pas encore mes entrées partout.
Vois tu, il existe plusieurs type de voleurs, il y a les voleurs de bas étages qui volent juste pour survivre, et il y a les voleur qui ont des rêves. Mon rêve c'est de voler aux riches pour donner... aux clients. Instaurer une chaîne de recel où on peut acheter moins cher que ce qu'est capable de marchander le meilleur négociant auprès des marchands.
Naturellement il faut une couverture pour justifier d'où vient l'argent, d'où la bijouterie. Quand on est un bon bijoutier l'argent entre et ressort rapidement, si les entrées et sorties sont légèrement faussées ça peut faire des sommes considérables totalement invisibles.
Et toi, as tu un rêve ? Oh, tu peux parler sans crainte, je ne me moquerais pas. Quand je fais des rêves plus farfelus je parle en rêve dans une langue étrange à des personnes que je n'ai jamais vu.
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Le Merakih 25 Julantir 818 à 16h44 |
*** Après un temps semblant infiniment long, la marionnette se réveille et déclare : ***
Je n'ai que faire de ton passé : je m'intéresse bien plus au futur, qu'au passé. Fais-je partie de ces gens qu'il faut ? Parce que, ça m'intéresserait de récupérer deux, trois choses gratuitement.
*** D'un coup, elle devient légèrement plus sarcastique : ***
Concrètement, tu veux instaurer une exploitation ... illégale ? Vois-tu, je t'aurai bien plus respecté si tu faisais partie de ces voleurs qui volent pour survivre : je suis du côté du peuple, pas d'un quelconque voleur s'estimant au-dessus de ce dernier. Si je deviens voleuse, je volerai aux riches pour donner aux exploités, aux dépossédés !
Ta couverture est intéressante .... Seulement dans le cadre où tu comptes être légitimé par cette société. Ne veux-tu pas changer les choses ? Ne veux-tu pas que l'on n'ait plus besoin de voler ?
Mon rêve ? Détruire cette société pourrie pour en construire une nouvelle, sans hiérarchie, sans argent, sans inégalités. |
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Lee BerT
Passeurs de temps
Kil'sin
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Le Luang 6 Agur 818 à 19h45 |
En gros tu es un révolutionnaire donc, avec pour idéal une société anarchiste ? Je ne suis pas convaincu qu'il y aura moins d'inégalité dans une telle société, mais je suis du genre à être capable de m'insérer dans n'importe quel type de société et à y être utile.
Je peux être utile presque à tout le monde. Quelqu'un est de la noble société ? Je peux lui fournir de beaux bijoux. Quelqu'un est dans la misère ? Je peux lui fournir à manger. Quelqu'un est de la classe moyenne sans besoin particulier ? Je peux le divertir. Quelqu'un est un aventurier et a besoin de compagnon ? ha pas encore, mais je m’entraîne, je m'entraîne et bientôt je serais capable de combattre efficacement, très bientôt. Quelqu'un est un révolutionnaire et à besoin de divers trucs pour planifier sa révolution ? C'est fou le nombre de personnes que je peux contacter afin de lui rendre exactement le service dont il a besoin.
Mais la question se pose, est ce que ce révolutionnaire saura exactement de quel service il a besoin ?
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