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Impression fugitive une douleur brutale |
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Le Matal 21 Otalir 814 à 10h18 |
*** Douleur et surprise mêlée. Un pic fulgurant. La sensation est fugace. Elle ne dure pas. Le temps d'un souffle seulement. Comme si la personne ne s'y était pas attendue. La seconde nécessaire pour se rendre compte de la douleur et en reprendre le contrôle. La pensée se coupe alors. ***
hrp/ n'hésitez pas à réutiliser ce sujet si vous voulez faire partager un petit bobo qui vous surprends ou la douleur plus conséquente d'une dague dans le dos. /hrp |
Rien n’est mort que ce qui n’existe pas encore |
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Le Merakih 22 Otalir 814 à 11h06 |
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Une terreur intense. Soudaine et malicieuse. Elle vrombit dans toutes les chairs de mon corps. Elle glisse d'en bas jusqu'en haut, hérissant mon échine de sa stupeur infernale. Je boue un instant. Ma peau rougit et mon visage carmin se fige d'un trait de consternation.
Puis tout s'efface et ne reste plus que la chaleur de l'adrénaline. Le souvenir d'un effroi sidérant. Je tremble encore un peu. Mais la surprise n'est plus. Eventée comme le gout d'un jour nouveau. Je puis reprendre mon chemin. En regardant malgré tout dans mon dos de temps à autres.
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Le Merakih 22 Otalir 814 à 18h53 |
*Une douleur, brutale... Rapidement suivie d'une vague d'... D'enthousiasme ? Oui, c'est cela, de l'enthousiasme, prenant le pas sur la douleur, et effaçant rapidement la pensée.*
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Gentleman Cambrioleur
Philanthrope Personnel
Explorateur Urbain |
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Le Merakih 29 Otalir 814 à 11h41 |
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Un tremblement, un stress intense. Une mise en danger volontaire. Tout paraît si crispé, si tendu. Le sentiment palpite comme à son comble... et reste vivace.
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Le Julung 30 Otalir 814 à 22h01 |
BANG!!!
Resonance.
Torrent.
Barrage.
Fermer.
Pression.
Mourir.
Tête.
Silence.
Crainte.
Pulsation.
Souffle.
Peur.
Désespoir.
...
Intérêt.
...
Enthousiasme.
...
Calme.
Contrôle.
Rideau.
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Le Dhiwara 2 Nohanur 814 à 23h17 |
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Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon... Tristesse... Solitude... Abandon...
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Surprise.
Intérêt.
Satisfaction.
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A chaque rêve son chemin. |
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Le Merakih 5 Nohanur 814 à 16h19 |
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Curiosité.
« Quelles balles pour utiliser cette arme ? »
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Au nom de la Loi du Un, j'interromps votre Destin !
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Le Julung 6 Nohanur 814 à 11h31 |
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Une stupeur totale fuse dans la brume des entrelacs. Suivie d'une douleur vive. De la peur se mêle à une montée d'adrénaline. L'intensité du choc s'élève à un paroxysme avant de céder lentement vers la réaction... Une pensée surgit comme un écho nécessaire de l'instinct.
Fuir...
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Le Vayang 7 Nohanur 814 à 21h24 |
Une douleur. De l'énervement. Mais aussi de la détermination, un désir de continuer et de vaincre.
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Je me prépare pour la guerre noble. Je suis calme. Je connais le secret. Je sais ce qui va arriver et que personne; même pas moi, ne pourra me stopper. |
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Le Sukra 8 Nohanur 814 à 17h38 |
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Une non-pensée, qui flotte, et attire, comme le ferait un tourbillon. Qui prend de l'ampleur, de plus en plus de force, qui crée une sorte de puits. Puis plus rien, si ce n'est l'impression que tout est à sa place sans y être vraiment.
L'impression persiste, s'épaissit, même. Une impression de moiteur, de noirceur. Étouffant.
Puis plus rien, la sensation disparait d'un coup, comme le brouillard s'écartant pour laisser apparaître...
Un incroyable flot de sentiments mêlés. Joie, peine, amour, haine, satisfaction, frustration...
Ils sont tous là, entremêlés, comme un gigantesque barrage venant de lâcher d'un coup l'équivalent d'un lac.
La panique est omniprésente, elle corrode tout, mais une deuxième vague, de dégoût, la rattrape bientôt, comme du pétrole venant recouvrir un lac pur. Le dégoût étouffe la panique,calme la vague de sentiments, aplatit le tout.
Puis vient le froid, qui gèle chaque sentiment sur place, rend la surface impénétrable aux yeux comme aux corps, qui se répand partout. Qui reprend le contrôle. Qui semble remarquer les présences qui l'observe.
Contrôle.
Froid.
Le contact est brusquement rompu.
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La perfection est amorale. |
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Le Matal 11 Nohanur 814 à 17h49 |
*** La peau se désagrège.
Le sommeil est agité, douloureux.
Les rêves sont des cauchemars. Des crocs qui claquent, un acide destructeur.
L'odeur du sang.
Le cœur s'emballe. Palpitations.
Impossible de se contrôler.
La peur dévorante.
Est-ce la fin?
Une lumière au bout du chemin.
Peut-être pas. Pas encore du moins.
Les membres reprennent petit à petit leur consistance.
La matière prend de l'épaisseur.
Les rayons du soleil sur la peau.
L'aube vient.
Une inspiration lente, rauque.
Vivant. *** |
- Thème d'Elyas - |
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Le Merakih 26 Nohanur 814 à 10h00 |
*** Un hurlement de douleur irradie sur les entrelacs.
De la douleur qui palpite, qui explose, qui obnibile l'esprit.
De la colere... non, de la rage. De la haine. ***
Jade ! Traitresse ! Assassin ! |
Rien n’est mort que ce qui n’existe pas encore |
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Le Julung 27 Nohanur 814 à 22h53 |
Une chaleur s'impose, brulante…
Ça sent le cochon.
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Le Dhiwara 21 Dasawar 814 à 22h03 |
Une gêne mêlée de surprise que l'on tente de dissimuler malgré tout. De l'incompréhension. Être confronté à quelque chose que l'on arrive pas à tout à fait assimiler et ce malgré un effort énorme.
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Je me prépare pour la guerre noble. Je suis calme. Je connais le secret. Je sais ce qui va arriver et que personne; même pas moi, ne pourra me stopper. |
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Le Luang 5 Jangur 815 à 15h22 |
*** Une peur dénudée et pourtant sans visage, à vif, stridente. C'est viscéral et ça porte un nom : désespoir.
Coupure. *** |
Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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Le Dhiwara 11 Jangur 815 à 13h28 |
*** Cette douleur. Impressionnante. Découvrir du jour au lendemain que vous gagnez des dons. Et toute la douleur qui va avec. Surtout la télépathie. Mal de crâne garantis. Mais quoi qu'il arrive, je dois survivre. *** |
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Le Luang 12 Jangur 815 à 17h02 |
Impression d'avoir été lacérée, poursuivi, fracassée. La douleur est telle qu'elle disparait et à la place reste l'effroi, la peur qui donne des ailes et permet des miracles. Sans doute celui d'être encore en vie...
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Le Matal 13 Jangur 815 à 14h57 |
*** Une note cristalline de pure douleur.
Un fracas de coups, de déchirements.
Puis le silence.
Puis...quelques temps plus tard, la reprise.
Une constante agonie de tous les instants.
Cette souffrance. Cette note.
Lancinantes comme un jour sans pain et sans fin.
Une délivrance ininterrompue. *** |
Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Julung 29 Jangur 815 à 11h39 |
*** Une nouvelle douleur. Premier échange privé mental avec un autre Lanyshta. Douleur à la tête dérible. Pendant un certain temps, j'eus même pensé à mettre fin à tout ça. Puis la douleur est partie. Et j'avais mon premier rendez-vous *** |
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Le Luang 20 Julantir 815 à 10h42 |
*** Une souffrance comme une balle, ronde et rouge, qui pulse et dégouline. *** |
Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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